Sakurai Rei • don't follow me to the dark

J’aimerais pouvoir dire que ma vie ressemblait à un conte de fées hélas ce ne fut pas le cas, bien sûr comme tout le monde, j’ai eu des hauts et des bas. Dans mon cas, plus de bas que de haut, mais je ne m’en plains pas, je n’ai pas une vie pire ou meilleur que d’autres, c’est juste la mienne. Ma mère est une coréenne venue au Japon pour ses études et c’est là qu’elle rencontra mon père. Une histoire banale si on peut dire. Mais hélas la vie offre parfois des choix difficile aux gens et bien souvent, ils prennent la mauvaise décision. C’est ce qui est arrivé à mon père et à ma mère. Ils étaient jeunes et insouciants et voulaient tout et tout de suite. Ils voulaient se marier, mais leurs parents étaient contre ils choisirent donc la mauvaise voie et ils commencèrent à travailler pour la mauvaise personne. Ils commencèrent à travailler pour yakuza, celui-ci cherchait des goules pour travailler pour lui jusque-là rien de bien méchant. Pour de l'argent et d'autre petite chose, ils commençaient à travailler en tant qu'exécuteur pour leur nouvel employeur. C’est malheureusement comme ça qu’il attire l’attention des colombes surtout mon père qui était réputé pour être un vrai boucher ce vu d'ailleurs son surnom, quant à ma mère elle fut connu sous le nom de louve à cause de son masque....

Quelques années plus tard, ils réussirent à se marier, mais n'arrêtaient pas pour autant leurs métiers. En vérité, ils y avaient pris goût à leur nouvelle vie, déjà qu'à cause de leurs conditions de goules, ils menaient une vie pleine de secret, mais mener cette double vie de simple serveur dans un bar et de tueur la nuit avait quelques choses d'excitant. Quelque temps plus tard, ma mère tomba enceints de moi et dû donc cessé ses activités (ce qui ne plaisait pas trop a son patron) et mon père lui dû travailler deux fois plus pour combler l'absence de ma mère.

La grossesse de ma mère se passa relativement, bien et les cinq premières années de ma vie, j'ai pu avoir l'amour de mes deux parents, et d'un "oncle" très gentil bien qu'à cette vie, j ne savais pas qui il était réellement, ce n'est que plus tard que je sus qu'il était leur employeur.

L'année de mes dix ans, mon père mourut tué par les colombes enfin, c’est ce qu’on m’a dit. Je compris que oui, il fut bel et bien tué par cette satané brigade, car la cible était cette fois l'un des leur. Ma mère prise par le chagrin voulu aller le venger et là elle subit le même sort. Mort totalement stupide non ? Je lui en veux encore aujourd'hui pour ce choix stupide, elle m'avait moi ! Quelle stupide idée d'aller venger son homme et d'y aller seule face à une équipe sur entraîner. Mais rien ne peut arrêter une femme qui réclame vengeance, goule ou non elle restait une femme. Quant à moi, le si gentil oncle décida de m’adopter quand on est quelqu’un de pourri, on tire souvent les ficelles du système à notre avantage. Aux yeux de tous, je suis désormais la fille adoptive de Monsieur Sakurai un gentil patron de bar enfin, c’est ce que tout le monde pense. En réalité, ce gentil monsieur Sakurai est un Yakuza. Il m'a toujours bien traité bien que je sois une goule, il m'a traité comme sa propre fille, mais en échange, je remplace mes parents, il ne m'a rien demander, je l'ai fait de moi-même.Parfois, je me demande s'il ne m'a pas manipulé dans ce sens, et je commence à me poser de plus en plus de questions, ai-je bien fait de reprendre ce que faisaient mes parents pour cet homme ? Je ne sais plus...

Serveuse la journée et je suis exécutrice la nuit bien sûre, je me nourris de mes victimes, on ne connaît le nom de Sakurai Rei la gentille petite serveuse et la nuit, je revêtis le masque de la renarde. Voici le résumé de ma vie une vie aussi simple que compliquer pas plus compliqué que d’autres me direz-vous, mais c’est la mienne peut-être un jour arriverez-vous à percer le mystère que je suis et en apprendre et vous plus sur ma personne que la douce et aimante la petite serveuse n'est autres qu’une Goules sanguinaire et sadique qui se nourri des personne que son "père" trouve gênante. Mais peut-être n’est-ce pas tout, peut-être suis-je plus fragile que j'en ai l'air et pleine de mystère.